Pour le chorégraphe Jean-Christophe Boclé, la musique de Jean-Sébastien Bach est de celles qui nous transforment, qui vibrent en nous presque malgré nous. Dans cette version de PARTITION(S) créée pour L’Azimut, il réunit sur scène deux musiciens, quatre danseurs et deux artistes de cirque, pour interroger et faire résonner les Suites pour violoncelle de Bach à travers les espaces et les corps.
Ici, il s’agit de se mettre dans un état perceptif intime et profond. Dès les premières notes, les interprètes accueillent la musique en eux pour entamer une danse habitée et apaisée. On se laisse captiver par la richesse et la qualité de la gestuelle, et on regarde les espaces se transformer, se densifier nous nos yeux. Une chorégraphie qui nous fait vivre et ressentir la danse et la musique de façon inédite.
Création 2023
Conception, chorégraphie Jean-Christophe Boclé
Avec Jean-Christophe Paré, Marion Jousseaume, (en cours)
Violoncelle, conseil musical Elena Andreyev
Musique Suites pour violoncelle de Jean-Sébastien Bach, IIIe, Ve, VIe
Lumière Delphine Gruer
Partenaires L’Azimut – Antony/Châtenay-Malabry, Théâtre de Beaune, micadanses – ADD Paris, Conservatoire à Rayonnement Intercommunal d’Antony dans le cadre de la résidence d’EKTOS, Abbaye de Royaumont dans le cadre des accueils incubation.
Avec le soutien de la DRAC Île de France.
Remerciements à La Briqueterie – CDCN du Val-de-Marne.
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25 mars 2023
Théâtre Firmin Gémier / Patrick Devedjian
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Ce soir, c’est bal à L’Azimut ! Et pas n’importe quel bal : évoluant avec aisance sur le parquet, les huit danseurs sont aussi des acrobates de cirque. Assis tout autour d’eux, on est soufflés par la beauté de leurs mouvements et par la facilité avec laquelle ils transforment une petite valse en duo de portés acrobatiques !
Six garçons qui jaillissent de partout, bondissent, rebondissent, se frôlent : Esquive, c’est un ballet vertigineux pour six acrobates et trois trampolines, d’une fluidité et d’une précision incroyables ! Devant cette performance où le mouvement ne s’arrête jamais, on retient son souffle et on écarquille les yeux.
Au rythme de la musique mixée en direct par un DJ, huit danseuses nous entraînent dans une succession de tableaux collectifs hypnotiques et de solos dans lesquels éclatent leurs personnalités singulières. Ici, « l’Afro House Spirit », le style signature d’Ousmane Sy, s’ouvre à d’autres univers chorégraphiques.
