Tourmenté, fiévreux, brûlant : les mots ne manquent pas pour décrire DEUIL(S), le premier album de Martin Luminet, aux textes frontaux et parfois crus. Avec une urgence batailleuse qui ne ressemble qu’à lui, dans une alternance savamment dosée entre chanson et « spoken word » (« parlé chanté »), le jeune artiste se met à nu et fait naître la lumière au milieu du chagrin et de l’absence.
« Une des révélations durables de la scène française.» Libération