Avec Guillaume Perret, le jazz flirte avec la musique électronique : cet excellent saxophoniste utilise des machines pour modifier en direct le son de son instrument. Après une longue aventure en collectif (« The Electric Epic ») ou la BO d’un documentaire sur Thomas Pesquet, il embarque le batteur Tao Ehrlich pour un concert solaire et tribal, où les sons du sax et des percussions nous enveloppent comme une succession de vagues intenses et épurées !
« L’un de nos meilleurs jazzmen. » Télérama